« O gens ! celui qui sait que son frère a une bonne réputation dans sa croyance et sa conduite, qu’il s’abstient de croire aux propos inventés contre lui. Car les flèches du tireur peuvent s’écarter du but, les paroles ne disent pas toujours la vérité et le mensonge reste sans effet. Dieu entend et voit. Il n’y a entre le juste et le faux qu’une marge de quatre doigts. »
On lui demande d’expliciter sa parole. Il rassemble ses doigts et les mets entre son oreille et son œil et dit : « Le faux est de dire j’ai entendu dire et le juste est de dire, j’ai vu »