Comment les non-musulmans ont-ils vu l’Imam Ali (as) ?
Bien que limam Ali (as) est lun des symboles les plus importants de lislam, après le prophète Mahomet (PSL), ceux qui ladoraient et étaient attirés par sa pensée, et étaient intéressés par sa biographie et son modèle, ils étaient des domaines culturels, intellectuels et nationaux larges et bien différents.
Que pensent-ils de lui ?
Mikhail Naimy a dit :
L’Imam Ali (as) était-il lun des grandeurs du monde pour que les autres aient le droit de parler de lui ? Ou est-ce qu’il est un roi pour que les royaumes aient le droit de comprendre son statut ? À quel rang de connaissance veulent les personnes de le connaître que le leur ? Et de quelles pensées philosophiques les philosophes veulent-ils, à part les sciences limitées dont ils disposent ?
Ce que les grandeurs, les penseurs et les philosophes ont compris avec toutes leurs nobles vertus et sciences, ils lont compris à travers de leur présence et du miroir limité de leur âme. Mais Ali (as) le faire autrement.
George Jerdak a déclaré :
Ali bin Abi Talib avait concerner dans l’histoire des droits de l’homme, et ses opinions à ce sujet étaient étroitement liées à l’islam à cette époque-là, qui se concentrent sur mettre fin de l’autoritarisme et sur lélimination des inégalités entre classes sociales. Chaque personne a connu Ali (as) et sa pensée sur les questions sociales, elle se rend compte qu’il est l’épée suspendue au cou des oppresseurs et des tyrans, qu’il cherche à focaliser la justice sociale avec ses opinions, sa littérature, son gouvernement et sa politique, et avec chaque position quil a prise de ceux qui dépassent les droits publics au mépris de la communauté et dédaignent ses intérêts, et établissent la gloire sur les anciens fatigués.
Le poète Gibran Khalil Gibran disait à propos d’Imam Ali (as) :
Je crois quAli Ibn Abi Talib était le premier Arabe qui a accompagné lâme universelle, et a resté à son côté. Le premier Arabe qui a appelé le nom de cette âme aux oreilles de personnes qui nen avaient pas entendu parler avant, ils se sont donc perdus entre les méthodes de la rhétorique d’Imam Ali(as) et les ténèbres de leur passé. Celui qui ladmirait était une admiration sûre et innée. Celui qui se disputait avec lui, il a dû être de la Jahiliyya.
Dans les yeux des penseurs l’Imam Ali (as) était, la dernière chance pour lhumanité dapprendre de lui, d’élever toute les valeurs éthiques, intitulés Justice et égalité entre tous les êtres humains, par lui. Sa pensée était lessence des religions qu’il a pris de leurs sources. Les religions que tous les prophètes ont apportées. Il était donc le meilleur élève des meilleurs enseignants, il méritait donc dêtre appelé « l’éducateur des nations ».
Malheureusement, toutes les nations, et au premier lieu sa nation, ne lont pas suivi ni l’obéi à ce temps-là. Les citoyens de son pays nétaient pas à son niveau culturel, philosophique et de sa justice. LImam a été martyrisé avant de construire l’utopie dans lâme des membres de la communauté humaine. Selon l’Imam Ali (as), construire une personne juste et vertueuse est la source de lurbanisation et de la civilisation, le pilier des États, limmunité à la justice et à légalité et cest limmunité pour le dirigeant et les gouvernés, le fondement de la véritable utopie, et le bouclier qui lempêche de devenir un empire doppression et dobscurité.
Le mufti égyptien Cheikh Muhammad Abduh a dit sur lautorité de lImam Ali (as) :
En présence d’Imam Ali (as), j’étais devant un esprit brillant, qui ne rassemble aucune création physique. Il est séparé du composé divin, et connecté avec lesprit humain qui la donc retiré de tout le superficiel de la nature, et la élevé au royaume supérieur.
Le chercheur et le penseur islamique Abd al-Rahman al-Sharqawi a déclaré :
Lhumanité na pas connu un dirigeant comme lui qui a souffert de telle discorde. Malgré son désir de faire plaisir aux autres, de protéger la justice, détablir la vérité et de repousser le faux.
Le philosophe et penseur Shibli Shumayyil a dit :
Limam Ali ibn Abi Talib est une personne merveilleuse et un exemple unique que lOrient naurait jamais connu, ni dans le passé ni dans le moderne.
L’historien britannique, Edward Gibbon, a dit de lImam Ali (as) :
L’Imam Ali est une personne unique et brillante, un poète, un croyant, un noble et une personne sacrée dont la sagesse est comme la brise respirée, car cette sagesse est une sagesse de la morale et de l’humanitaire. De sa naissance à sa mort, il était sage, il a rassemblé ses disciples et les a appelés : « mes frères » et « mes proches ». En effet, il était le renouvelé Aaron, l’ami du prophète Moïse, tel qu’il a été décrit par le prophète Muhammad (PSL).
Le médecin et le penseur britannique Henri Stop dit :
LImam Ali (as) méprisait le monde matériel et sa gloire trompeuse, Il craignait Dieu, il était un philanthrope et un chercheur de faire le bien. Il était le premier et le précédent de chaque acte divin, son jugement était social, il possédait la créativité et lintelligence pointue, il semblait donc étrange à sa société, parce que la créativité nétait pas commune. Il possédait les sciences cachées et la sagesse qui sétendent et ne finissent jamais ni ne meurent, pas ces sciences qui finissent sur la langue.
De son côté, le défunt Sheikh Muhammad Metwali Sharawi considère que lImam Ali bin Abi Talib est incomparable à ce qui sont reste des Compagnons, au contraire, il est unique en lui-même et il est attaché à ses attributs. Comme il est avec le Prophète dans une position de la hauteur où aucun Compagnon ne se rapproche pas complètement.
Il est clair que ces paroles ne sont pas fondés sur des émotions, mais sur collecter des sources, notamment ce quil y dit : "Le seul que le Prophète (PSL) considéré l’équivalent à lui parmi les Compagnons comme Aaron à Moïse, c’est Ali (as)."
Les penseurs ont convenu à propos de lImam (as) qu’il était qualifié pour être lenseignant de lhumanité et le bâtisseur de la civilisation humaine selon les normes idéales utopiques, et non selon les normes du premier siècle de lhégire. Son objectif nétait pas de construire un empire qui gouvernerait les pays, mais plutôt de construire un empire de la morale dans lâme des gens avant de construire des États, des gouvernements et des capitales.
Ali bin Abi Talib (as) était une inondation damour divin, si les gens lacceptaient et le recherchaient ils obtiendraient la délivrance des maux, et ils donneront naissance à des générations et à des peuples qui saiment, se connaissent et coopèrent, se réconcilient, construisent le monde par le bien, ne se retiennent pas par la haine et néchangent pas linvasion et lextermination.
Ali bin Abi Talib (as) est le symbole de lêtre humain parfait dans la plus belle image créée par Dieu, mais ceux qui étaient à son époque ne lont pas compris, ni compris ce quil appelait.
Et maintenant, est ce qu’on va commencer à corriger le cours de l’histoire ?
En 1949, la Convention de Genève a été adoptée. Cette convention qui a le but de protéger les droits des soldats et des blessés qui tombent en captivité. Cette convention garantit un traitement humain aux prisonniers qui tombent entre les mains dennemis. Mais avant mille quatre cents ans de la Convention de Genève, et avant les lois suédoises et suisses qui définissent la manière dont les autorités traitent les prisonniers accusés ou condamnés pour meurtre. Ali bin Abi Talib (as) a enseigné à al-Hassan les principes les plus élevés concernant le traitement dun prisonnier qui a assassiné Ali, il dit alors quil approchait de la mort :
"Mon fils, sois pitié avec ton prisonnier, sois pitié de lui et sois bon avec lui, est ce que tu voix comment ses yeux flottant de sa tête, et comment son cœur tremblant de peur, de terreur et de panique ? Nous, Ahl Al-Bayt, augmentons la générosité et le pardon lorsque on nous fait du mal. Nous avons la compassion, mais lui, il ne la jamais. Alors, pour lamour de Dieu, mon fils, nourris-le, de ce que tu manges, donne-lui de ce que tu bois, ne lui attache pas le pied, ne lui attache pas la main. Si je meurs, punis-le du coup pour coup, ne le torture pas. Et si je vis, je mérite plus de lui pardonner, et je sais ce que jen fais."
Quelle est la grandeur de cet être humain parfait ! et comment la Révolution française du XIXe siècle a-t-elle représenté un point de départ pour lhumanité vers la justice et légalité et la marche humanitaire de cet homme n’a-t-elle pas constitué le point de départ pour lhumanité vers une justice globale et une civilisation humaine complète ?
