La justice dans son vrai sens partie 8 (C est ainsi que il a vécu)
D’après Suwaid bin Ghaflah qui a dit : « un jour, je suis entré chez l’imam Ali (as) et j’ai remarqué qu’il ny a rien dans sa maison quun petit tapis minable où il s’est assis. Je lui ai dit : ô Commandeur de Croyants, malgré que vous possédez la maison de largent je ne peux pas trouver chez vous au moins les choses nécessaires à chaque maison. Vous êtes le roi de tous les musulmans et le souverain sur eux et sur le la maison de l’argent, beaucoup de délégations viennent chez vous, et il ny a rien à part ce tapis ?! »
Lui (as) il a pleuré et a dit : « O Suède, lintelligent na pas de meubles dans la maison temporaire, nous avons une maison dans laquelle nous avons déplacé le meilleur de nos biens, et il ne reste que de petits moments et nous y allons »
Suède a dit : je vous jure que ses paroles m’ont fait pleurer.
Lorsque le Commandeur des Croyants (as) voulait porter un vêtement, il entrait sur le marché et achetait deux vêtements. Et il faisait Qanbar choisir le meilleur des deux et lui (as) portait lautre. Alors le charpentier est venu et lui a tenu une de ses manches et a dit : « Prenez-la quand vous arrivez », et a dit : « Ceci est pris pour un autre avantage, et l’autre manche est restée telle quelle », et il a dit : « Ceci est tiré du marché pour Hassan et Hussein »
Sources : Nahj Al-Balagha Bahr Al Anwar
