De George Jardak et de l’Imam : ( Première partie )
Pourquoi lImam Ali (as) ?
Georges Jardak est un penseur, poète et écrivain libanais, connu pour sa poésie profonde et significative qui est remplie dimages rhétoriques et pour sa pensée réformiste éclairante. Il est également lun des plus grands écrivains, même sil est devenu célèbre en tant que journaliste et critique littéraire, la description dun poète et dun journaliste ayant prévalu sur le caractère dun penseur et dun écrivain en raison de lattrait de la presse pour le grand public.
George Jardak, un chrétien qui croit en sa religion, a reconnu le deuxième symbole le plus important de la religion islamique après le prophète Mahomet (as), à travers sa lecture dun livre contenant des paroles attribuées à limam Ali bin Abi Talib, La Voie de l’éloquence. La rhétorique et la pensée d’Imam Ali (as) l’attiraient, et il a été surpris de voir que toute lhumanité ne connaît pas cet Imam et ne le suit pas. Il le considérant comme la meilleure création de Dieu parmi lhumanité.
George Jardak a composé une encyclopédie sur lImam Ali (as) et sur sa pensée, alors il a soulevé létonnement des chrétiens avant les musulmans parce quil considérait que lEtre humain dans lImam Ali est au-dessus de toutes les religions.
C’est une partie de lopinion de George Jardak sur lImam (as) :
Pourquoi l’Imam Ali(as) ?
1. 1. La Justice de l’Imam Ali(as) :
La justice est la question qui a étonné Jaradak et la fortement attiré par lImam en tant que personne et héritage. Cela était évident quand il comptait la voix de la justice humaine, mettant en évidence son livre et la intitulé par ce grand titre.
Jardak la montré avec son parole :
"Quant à la justice comme la loi de moralité personnelle, et la méthode que l’humanité doit suivre sil veut être heureux. C’est presque le sujet principal de notre livre sur l’Imam Ali Ibn Abi Talib."
Le Livre de Jardak regorge de nombreux textes indiquant ce problème. Parmi ces textes indicatifs de puissance et déloquence, sa parole : « Saviez-vous, dans les domaines de la justice, une grande personne qui naurait que raison, malgré que tous les êtres humains se retournaient contre lui dans toutes les régions de la terre. Son ennemi était sur le mensonge même sil remplissait la terre entière. La justice ce nest pas une doctrine acquise, qu’elle le devient dans son approche plus tard. Ce nest pas un plan que la politique de lÉtat a clarifié, bien qu’il a certains de ses concepts. Ce n’est pas un chemin quil emprunte délibérément, alors cela le mènera de la communauté au lieu de primauté, et sil la pris, cela la conduit au cœur des bonnes gens. Au contraire, la justice, dans sa structure morale et éthique, est une origine qui sunit aux autres, et un attitude qui ne peut pas être permis pour lui-même, ainsi il en sort. Tant que cette justice était une substance à partir de laquelle sa propre structure physique a été construite dans lintégralité de ce quil a installé. Donc cest un sang dans son sang et un esprit dans son âme. »
Dans un autre texte significatif : « Ce n’est pas étranger qu’Ali est le plus juste des gens, plutôt étrange pour lui de ne pas lêtre. Les preuves de la justice dAli (as) sont des héritages qui honore la place et l’esprit de l’humain. Cette justice coule dans son esprit même devant les choses les plus simples. Et quand il était juste et que les gens prenaient le droit de choisir l’un de joies du monde, Il a préféré que ce choix soit de la part des autres, pour que les autres ne sentent pas que la plus grande part de droits est inhérente au plus grand que le jeune.... Les commandements et les messages de l’Imam Ali (as) aux gouverneurs tournaient presque autour de la justice. Et ce avec quoi les gens se sont entendus, étrangers et parents, sauf parce que cest léquilibre de la justice qui ne penche pas vers un parent et ne va pas de pair avec la force, et seule la vérité y est permise. Les gens, étrangers et parents, se sont alliés contre lui parce qu’il était léquilibre de la justice qui ne penche pas vers un parent et ne va pas de pair avec la force, et seule la vérité y est permise. »
Dans un troisième texte, Jerdak a déclaré : « L’idée de justice sociale a mûri dans l’esprit fort de l’Imam sur la base des droits du groupe qui doivent se terminer par l’élimination des énormes différences entre les classes sociales, alors sa voix dans cette bataille pour la justice sociale était toujours forte et sa défense des valeurs humaines était toujours grande, et implacable. Dans son gouvernement à cette époque de lhistoire humaine, il y avait lidéal dun dirigeant conscient des droits de lhomme, qui travaille à le mettre en œuvre avec tous ses moyens. »
2. 2. L’égalité de l’Imam Ali (as) :
Jeradak pense que limam (as) était le premier à percevoir légalité comme une nécessité sociale sans laquelle aucune société ne peut être correcte. Il a pu repousser les limites de cette égalité et atteindre en elle les horizons de lhumanité générale.
Selon lui : « Quant à cette égalité, nous avons vu quIbn Abi Talib était le premier en la réalisant comme une nécessité sociale, sans laquelle aucune société n’aurait pas pu être correcte, et aucun bâtiment ny serait construit. Nous avons également vu comment le concept correct dégalité lui est venu à lesprit comme sil était ainsi issu de penseurs de nos âges, pas du septième siècle après JC. Il était raisonnable dans tous les droits et devoirs. Il a impliqué l’égalité entre tous les gens, il a supprimé la différence en eux, entre éloigné et proche, ennemi et parent, musulman et non-musulman ou arabe et non-arabe. Par cela, Ali aurait poussé la morale arabe hors dun amour pour légalité, puis élargi les limites de cette égalité jusquà atteindre les horizons de lhumanité générale, lui donnant le sens que la nature humaine et la société veulent. »
3. 3. La liberté de l’Imam Ali (as) :
Jaradaq na pas trouvé le sens général large du concept de liberté à cette époque-là, sauf dans la stratégie de limam. Selon lui : « Si la personne pensait au mot (liberté) à cette époque-là, il ne trouverait son sens général que dans la stratégie de lImam Ali (as) ; le mot (liberté) et tous ses dérivés navaient pas de sens à lépoque de lImam sauf ce qui opposait à lesclavage. La liberté est contre lesclavage. La personne liber est contre lesclave. Quant à Ali bin Abi Talib (as), la question est différente, et le concept de liberté est plus large et plus général. C’est ce que nous voyons très clairement dans la constitution d’Ali. Il reconnaît le droit des individus de voter et de prendre leur retraite, de parler et dagir, et de vivre dans la dignité. Puis il les égalise tous en droits et devoirs. Il ne fait pas de limites à cette liberté sauf si l’intérêt du groupe l’exige... »
Jardak a également trouvé que limam a vécu la liberté et pour laquelle il a travaillé et sur laquelle il a construit son cours. Il était l’exemple vivant et le plus flagrant de cette liberté, et il était son défenseur. Jardak a dit : "l’Imam Ali (as) a fait cette liberté. Il l’a orientée vers une orientation juste et humanitaire. Il l’a rendue une responsabilité. Il a vécu cette liberté pour laquelle il a travaillé et sur laquelle il a construit son chemin personnel et sa constitution générale. Le lecteur ne peut augmenter aucune nouvelle dans le concept de liberté après avoir lu ce sujet qui est environ plus de mille pages de ce livre. On peut résumer tout ça : l’Imam Ali était l’exemple vivant de notions de liberté, son chemin était une représentation de reconnaissance de la liberté des gens dans ce quils voient et font, à condition quils naient pas mal lautorité générale. La Constitution de l’Imam Ali était une réglementation et une généralisation de cette reconnaissance. Son sentiment de liberté en tant que valeur humanitaire fondamentale trouvé derrière son méthode de vie et sa constitution. Avec toutes les choses susmentionnées, Ali (as) est le modèle de la personne arabe libre qui devrait être »
4. 4. La rhétorique de l’Imam Ali (as) :
Quand Jardak écrivait sur la rhétorique de l’Imam Ali (as), il était le plus éloquent parmi tous les écrivains. Il écrivait passionnément lors de lapproche de ce côté.
De ce côté-là il a commencé sa première connaissance de limam (as). Par l’impression de l’Imam Ali (as), cette connaissance a été renforcé et solide. Cela a produit avec le temps ses textes qui parlent de la rhétorique de lImam qui était, pour lui, un exemple idéal de la rhétorique après le Saint Coran.
De ces textes, Jardak a écrit : « l’Imam Ali (as) avait, plus que des autres écrivains, tous les règles de la rhétorique qui est lart du bien parler. La structure de ses phrases était l’exemple idéal de la rhétorique après le Saint Coran. C’est un résumé claire, une harmonie puissante et complète entre les termes et les significations, une douceur du renne à loreille. Elle a l’impact musical. Elle devient délicate dans des situations qui nont pas besoin de lintensité, et plus sévère dans des autres. Surtout lorsque le discours est dirigé vers les hypocrites aux dépens des pauvres, des vulnérables et de ceux qui manquent leurs droits. Le style d’écriture de l’Imam Ali (as) est directe et sincère comme son cœur et son esprit. Pas étonnant d’être La Voix de léloquence ! Son style dhonnêteté a atteint à éviter l’exagération. Sur le grand nombre de phrases poreuses prolongées, il est très loin de l’exagération et très proche de la générosité. »
Concernant l’élocution et la rhétorique de lImam Ali (as), Jaradak a écrit : « Les orateurs dans les Arabes sont nombreux, et la rhétorique est l’un de leurs arts littéraires qu’ils connaissaient aux époques la Jahiliyyah et l’islam, en particulier à l’époque du Prophète et des califats Rashidun parce qu’ils en avaient besoin. Quant à l’orateur de l’époque prophétique, il est le Prophète sans aucun doute. À lépoque de Rashidun et dans lensemble des époques arabes qui ont suivi, personne na atteint ce quAli bin Abi Talib a atteint dans ce domaine. La prononciation facile dAli (as) était lun des éléments de sa personnalité et la déclaration forte, y compris tous les éléments. Il est difficile de trouver parmi les personnalités de lhistoire une personne qui a toutes ces conditions qui font de leur propriétaire un excellent orateur autre quAli bin Abi Talib (as) et quelques personnes. Il suffit de revoir ces conditions et les célèbres orateurs dans les mondes oriental et occidental, afin de se rendre compte que notre parole ceci est correcte et sans exagération »
